samedi 29 novembre 2014

virtualité et réalité

Dans un peu plus d'un an va sortir La guerre des étoiles VII ! Hier fut présenté les premières images et le buzzzzzz !!!!
Qu'en penser ? Je suis de cette génération et chaque fois l'attente est plus que longue, alors pourquoi cela est ? Comment des films, des personnages sont ils devenus aussi important ? Pourquoi cette mythologie est elle si fortement vécue ?
Besoin d'identification aux héros (dont manque cruellement notre époque) rêves que notre temps n'apporte plus....? Sans doute mais aussi je pense ritualisation de l'évolution de la personne qui il faut bien le dire n'existe plus.
Si l'on regarde, l'on s'interesse un poil à l'aventure humaine il apparait que toutes civilisations confondues, existait des rituels de passage; de passage de l'enfance à l'adolescence, de l'adolescence à l'age adulte. Ceux ci donnaient un référentiel à la personne et lui permettait de se situer au sein du groupe.
Quoique l'on dise l'homme (les femmes aussi bien sur) est de part le groupe, cela sans renier son individualité.
Hormis le coté "chevalier et belles qui dorment pas" ces films éveillent ce besoin de construction, d'évolution et de devenir de l'être, de la personne.
Maintenant et ce qui est regrétable est que la majorité des gens qui regardent ces films restent dans le domaine d'observation au lieu de réalisation.
je veux dire par là que, quel que soit le domaine, Arts de Combat, Arts divers (théâtre, peinture, photo...) ou professionnel (surtout l'Artisanat manuel, coutelier, tapissier, souffleur de verre...) il existe des Voies de réalisation de soi, des Voies qui non seulement permettent de se réaliser mais aussi et surtout de partager, de découvrir et patati et patata...
Aussi mes amis osez, faites, trompez vous mais vibrez, vivez ! Soyez de vrai Jedi !!!

lundi 17 novembre 2014

Le temps et la pratique

Le temps et la pratique ou pourquoi faut il tant de temps pour "bien faire"
Quel temps faut il consacrer à la pratique pour atteindre un certain niveau ou un niveau certain ? Pédagogie moderne ou pédagogie ancienne ? Pensez que Mtre Kano avait 22 ans lorsqu'il fonda le Kodokan...cela mérite réflexion non ? 

Il est clair que de nos jours si un "gars" créait son style à 22 ans tout le monde se plierait de rire !!! 
Avant toutes choses il est évident que chaque pratiquant a ses particularités et capacités, tout le monde ne peut progresser à la même vitesse, cela étant et expérience de pratiques diverses(33 ans) et d'enseignement (12 ans) m'emmènent à m'interroger.
Pratiquons nous bien ou beaucoup ? Certes il faut des heures et des heures d'entrainement (voir la théorie des 10 000 heures) mais celles-ci sont elles bien mises à profits ? Non et non ! 

Le schéma fédéral, respect du canon trop "rigide" (sans critique négative), un certain positionnement mercantile de diverses écoles (programme techniques très/trop vaste), un manque de réflexion, de compréhension des pratiquants et enseignants, simple reproduction du geste comme par exemple ce que j'ai vécu en Inde lorsque je suis allé faire du kalaripayat. 
Tout cela en fait brime en quelque sorte notre expressivité personnelle, et peut/fait que si la pratique se développe le risque d'un appauvrissement de celle-ci est !
Il ne s'agit pas pour moi de faire table rase du passé mais de me permettre et de permettre à mes élèves de ne pas perdre de temps, de sentir, de s'approprier l'essence de l'Art du Combat. Ne pas rester sur un schéma gymnique mais faire sien, intégrer, vivre les principes d'une pratique vivante, libre et créatrice.



Comme a bien dit Jean Luc sauge https://www.facebook.com/jeanluc.sauge?fref=ufi "plus j'avance plus je suis persuadé qu'il n'y a pas de débutant. c'est la pression de réussir une technique et de répondre a des codes qui limite la capacité naturelle de protection et d'opposition. en contournant cet écueil le mouvement naît alors seulement la technique peut se greffer dessus."
J'adhère ! Attention il ne s'agit de faire n'importe quoi n'importe comment, juste donner une direction et laisser l'autre faire. Apporter la petite touche qui permet de rester dans le chemin...ceux qui cherchent me comprendront.

J'ai eu la chance de tomber sur des enseignants qui ont cherché à me transmettre un fond avant de me "donner" une forme et je les en remercie ! Je pense surtout à C.Guiral et J.F Demoulin www.everyoneweb.fr/artsmartiauxjfd.com même si il m'a fallu du temps pour comprendre ce qu'ils essayaient de me transmettre.
Maintenant d'autres enseignants le font et c'est bien, et c'est grâce à eux que "l'esprit" des Arts Martiaux sera toujours vivant et qu'encore et encore nous aurons à découvrir et apprendre...

mardi 5 août 2014

Survie - Arts Martiaux et autres...

Depuis quelques temps je lis un peu partout, surtout sur blogs et facebook des articles et commentaires sur la survie, si il s'en trouve de très intéressant comme celui https://www.facebook.com/alex.grzeg il y en a d'autre comme le commentaire d'un certain Bushido Spetsnaz sur un article de http://arts-martiaux-budo.blogspot.fr/  (le lien marche pas !) sur une démonstration de Yoseikan qui me laisse assez étonné...pour ne pas dire autre chose !
Ainsi il apparait que la notion de survie rencontre le "grand public" si je puis dire, mais en fin de compte de quoi parlons nous, de quoi parlez vous ? Survie ne milieu urbain, survie en milieu naturel...en fait cela est la même chose. 


Dire, écrire que tel style ne permet pas de faire face à une agression, voir des films sur youtube ou un mec plus que bedonnant montrer que tel style ou école ne marche pas avec - technique traditionnelle ou autre - et - réalité - ah ah ah je me marre, déjà ces personnes ont elles fait face à une attaque au couteau ? Ont elles donnés des coups de couteaux ? Dire devant une caméra "c'est ainsi" ! J'espère qu'ils n'ont pas du faire trop de prises...
Je disais donc que cela est la même chose, survie en milieu urbain, survie en milieu naturel !
Comment ? Et en quoi est ce la même chose ?
La notion de survie ne dépend pas de techniques (bien qu'elles aient leurs utilités) mais d'état d'esprit, de façon d'être ! Ont l'a ou on ne l'a pas c'est tout !
À 21h41 nous étions 7 251 768 191 êtres humains sur terre ! Comment en si peu de temps avons nous pu ainsi croitre ?
Les progrés de la medecine, l'industrialisation et autres, mais surtout la sédentarité.
Celle ci ayant marqué le début des problèmes et la fin de notre vrai liberté, si vous ne comprenez pas pourquoi je ne peux rien pour vous (je me la joue). Je veux dire par là que sans ces progrets, beaucoup beaucoup de nos ancêtres n'auraient pas survécus, et beaucoup beaucoup d'entre nous ne serions pas là.
Je ne dis pas que c'est bien ou que ce n'est pas bien, c'est ainsi !
Maintenant, pratiquants ou non pratiquants en fait je crois peu ont cette capacité, ce trait de caractère. C'est ma nature j'observe et oui nombreux ils sont adaptés à notre société "moderne" et réussissent mais ils ne possèdent pas l'instinct de survie. Je gage, je ne me pose même pas la question tant cela est une évidence; on en lâche en pleine nature ou dans une ville type Bombay et ...no comment 15 jours après ! 
Et après ? Et après chacun fait ce qu'il veut et après tout quelle importance si le voisin fait le style hyper mortel efficace à techniques secrètes - quelle importance si l'autre voisin va t'expliquer comment réussir ta vie, discussion au café car c'est son QG, quelle importance si le troisièmement voisin n'a rien à dire...

mercredi 9 juillet 2014

Un parcours...de l'Aïkido au Yoseikan (entre autre)

Bon, façon détournée de répondre à http://arts-martiaux-budo.blogspot.fr/ voici comment l'on peut aller de l'Aïkido au Yoseikan Budo, mais pas seulement...j'expliciterai plus loin.
J'ai commencé l'Aïkido début 80 à l'ETAM rue des fontaines à Toulouse, Dojo où j'ai passé 14 ans...un ami Alain.M a pris sur lui de m’emmener et le virus j'ai pris. Il faut dire que je suis tombé sur un enseignant hors pair, autant dire les choses comme elles sont le meilleur pédagogue que j'ai jamais vu, côtoyé ! Dur, intransigeant mais avec la souplesse nécessaire au moment venue...un artiste.
Celui que je considère comme mon Maître (son enseignement allait au delà des techniques)
Maître  Guiral.
Son caractère il avait c'est sur mais à l'heure où prendre un avion est simple comme commander un café, l'époque qui l'a vu "être" c'était autre chose...
donc j'ai passé 14 ans avec lui, un jour il me fallut couper le cordon mais jamais je n'ai rompu contact avec lui, jamais je n'ai oublié (encore moins maintenant) ce qu'il m'a apporté et permis.
Lors de son décès je ne suis allé ni à son enterrement, ni à la messe souvenir car me connaissant je sais que des "claques" seraient parties au regard de la présence de "parasites" qui ne se gênaient de le critiquer dans son dos, bien sur.
Il avait de fait un Aïkido assez carré mais fluide et toujours la notion d'efficacité était présente, époque certes mais aussi 9 ème Dan de Judo, ceci expliquant cela.
Compagnon de Mr Kitaura Yasunari ( délégué de l'Aïkikaï en Espagne) ils passèrent leur premier Dan à l'Aïkikaï ensembles, Mtre Guiral le fit venir rien que pour nous à de nombreuses reprises. Là je découvris un Aïkido plus rond, plus coulé mais en fait avec toujours le même esprit. Sous une apparente douceur se trouve une chose rude. Homme de grande culture, d'une gentillesse rare, Mtre Kitaura porta sa pierre à ma pratique (bien que cela ne ressorte que des années plus tard).

Ensuite je fais de nombreux stages (en Aïkido) avec de divers experts, Mr Tissier, Mr Endo, Mr Tamura...
le temps passe et me voici à faire portier (vous savez celui qui vous dit non alors que vous avez une belle chemise !). Ayant depuis quelques années abandonné le combat de rue je me suis dit que l'Aïkido n'était pas adapté à ce boulot...erreur !!! Lorsque j'ai du appliqué c'est sorti tout seul et ça marche très très bien ! Mais avant cela que faire...je voulais du Kyokushinkaï mais il n'y en avit pas à toulouse et sur les conseils d'un ami je suis allé voir Jean François Démoulin.

Je ne connaissais pas le Yoseikan Budo. Et je suis tombé sur ce que je cherchais ! De l'entrainement dur et sans concession ! Autant dire de suite que si je n'étais pas tombé sur lui je n'aurais jamais fait du Yoseikan !!!! Sans complaisance, un bosseur mais qui sait donner et est prêt à tout pour vous faire progresser, même à vous tanner le cuir !!! Anecdote, lors du stage de Mtre Mochizuki à Trois Rivière (Canada) celui-ci je ne sais pourquoi s'est mis à parler de lui et a dit "le meilleur au monde"...donc une fois de plus j'ai eu de la chance ! Du coup pendant plus d'un an je n'ai pas bossé pour pouvoir m'entrainer un max et cela m'a bien servi. 3ans passé chez lui, blessure au genoux, plus d'un un perdu, lui qui part et voilà. Mais toujours en contact, visites (rares à mon gout) l'échange continue.
Ensuite décision d'enseigner, diverses rencontres et découvertes - Systema - Penchak Silat - Boxe Anglaise - Taï Chi - Mr Hino...
Maintenant que dire ? Pour répondre à un trés bon article
http://pakpeiju.blogspot.fr/2012/10/etre-ou-ne-pas-etre.html être ou ne pas être un bon Aïkidoka, c'est vrai. C'est vrai que (je vais pas me faire des copains !!!! Ah Ah Ah ) les pratiquants d'Aïkido (en général) ont un bâton dans le C. !
Je me souviens trés bien il doit y avoir 7/8 ans je me demandais ce que devenais l'Aïkido et hop je vais faire un stage (avec Mr Suga), il me fallut acheter licence (!) et là vraiment...moi qui me suis engagé à 17 ans je les ai trouvé plus militaire que militaire ! Sacs d'armes rangés au cordeau, tous supers classes, de vrai petits enfants de troupe !!! Il y en a eu même qui ont "rangé" mon Boken parce qu'il était juste posé au bord du tatami...une fois pas deux. Heureusement pas partout comme ça mais bon...
ce qui fait revenir en mémoire  un stage avec Mr Endo (ça date !) où il disait " au regard de la pratique actuelle comparée à la pratique ancienne si vous ne pratiquez que l'Aïkido vous ferez quelque chose qui y ressemble mais ne sera pas de l'Aïkido...)
Si je continue le Yoseikan il est clair que je reviendrai à L'Aïkido, mon premier amour quoi (toute pratique juste est Aïki) et que je compte l'enseigner sous peu. Cela sera dans un esprit de fond et non de forme !

L'Étiquette doit exprimer un sentiment juste et ne dois pas être un habillage !

Ah dernier point pour Mr Fred Lespine concernant le Yoseikan - celui ci n'est pas "vaste" vu que son principe est l'ondulation - en fait c'est l'application qui est vaste, cet Art en fait est simple, ce qui en fait sa force, son application et l'engagement demandé ne l'est pas, ce qui en fait sa faiblesse.

Demain est une autre aventure et je me demande ce que les 30 prochaines années de pratique à venir m'apporteront...
Jean Philippe

dimanche 6 juillet 2014

Annonce...

Bonsoir.
Yoken Ryu vous annonce que son nom va changer,même esprit de partage, de découverte...mais plus d'entrainement, plus de propositions car le Budo ne peut dormir ni se contenter de ce qu'il a.
Bye bye et merci Yoken Ryu voici venu le temps de Sandokan...nom changé dans la semaine.

jeudi 19 juin 2014

Arts Martiaux et autres et l'argent !!!

Oh lala quel titre !
quelle place l'argent a t'il dans les Arts Martiaux, au sens large du terme ? L'argent salit il "l'esprit" du Budo ? Un enseignant qui fait payer (cher?) ses cours est il honnete ?
Bon je devais travailler sur autre chose mais le moment s'y prête, quelle place a l'argent dans la pratique ?
En premier chef il convient de préciser que nous vivons dans une grande illusion, illusion véhiculée par les films principalement, un vieux (toujours, bizarre non?) recueille ou forme un individu qui est souvent paumé ou qui veut se venger (arrêtez moi si je me trompe) et va tout lui transmettre, le loger, le nourrir et accessoirement  bénir  l'union de sa fille ou sa nièce avec ce bonhomme...stop stop ! Ce n'est pas la réalité !

La réalité est que votre professeur a passé des années et des années à suer, à se priver pour faire des stages et s'est lancé dans l'aventure de l'enseignement ou même si il a une salle municipale cela lui coute en temps et en argent.
Bien sur que cela est son choix, bien sur que personne ne l'oblige à faire ceci mais, réfléchissez une minute...vos chaussures, votre téléphone, toutes ces conneries que vous avez qui ne servent qu'à vous faire sentir mieux (je dis bien sentir). Combien dépensez vous là ?
D'un point de vue historique, la pratique a toujours couté.
À Sparte les meilleures écoles étaient les plus chères ! Si un Spartiate ne pouvait tenir son rang (donc suivre la formation) il perdait son statut de citoyen! Dans son ouvrage sur Musashi Miyamoto Mr Tokitsu cite une école de sabre (17 ème siècle je crois) où il est dit "nos techniques valent de l'or, ceux qui les voudront paieront de l'or".
Croyez vous que la salle où vous vous entrainez est gratuite ? croyez vous que (en général) votre professeur vit d'eau fraiche ?
Il y a peu j'ai de nouveau comptabilisé ce que j'avais dépensé en pratique et stage...ben j'aurais pu m'acheter une (petite) maison ou m'offrir plusieurs tours du monde...
Il ne s'agit pas là de se plaindre ou autre pleurnicheries mais de prendre conscience de la chance de trouver des gens (pas tous) sincère qui font preuve de générosités, d'abdénation et faire une bonne fois pour toute votre choix, pratiquez ou ne pratiquez pas !
 Pour tous ceux qui enseignent, vont enseigner et ne dévient pas de leurs Voies.
Jean Philippe

samedi 31 mai 2014

Souplesse musculaire et articulaire

Le temps passant, le corps changeant et des rencontrent se faisant des réflexions apparaissent dans la pratique, cela bien sur si l'on a de la mémoire....
Disons les choses simplement, comment dois je faire pour non seulement conserver une certaine capacité physique, mais surtout continuer à progresser ? Ces réflexions sont valables aussi pour les "jeunes" pratiquants qui ne veulent pas perdre de temps.
Alors qu'est ce que la souplesse ? Pour le petit Larousse :
Qualité de quelque chose ou de quelqu'un qui est souple : La souplesse d'un acrobate.
Facilité, habileté à se plier aux circonstances, à s'adapter : Souplesse du caractère.

La souplesse musculaire...quels sont ses facteurs ?
- patrimoine génétique
- cadre de vie
- alimentation
- climat
- style et méthode d'entraînement...
voici en gros ses principaux facteurs. Notre monde se divise en 2 grands groupes civilisationnel .
Les cultures accroupis, les cultures assises.

Pour ceux qui ont la chance de voyager quelque peu ils comprendront de suite, disons que le fait de vivre de façon accroupi (Inde, Afrique, Asie...) développe une souplesse autre que ceux qui vivent assis (Europe, Russie, pays Anglo-saxons...). En résulte donc une grande différence génétique.
Pour anecdote, lors de mon 2 ème séjour en Inde en pré-mousson, j'ai en une semaine gagné en souplesse et en fluidité des arcs incroyable (pratiquement et sans forcer le grand écart latéral avec flexion complète du tronc !) chose perdu 10 jours après mon retour !!!! Mais cela est normal, le climat, l'alimentation, l'entraînement...tous ces facteurs ont contribué au résultat. C'est pour cela que nous ne pouvons et ne pourrons vraiment faire "comme là-bas" ! À nous donc de trouver notre juste pratique.
Mais ce qui m'intéresse le plus est la souplesse articulaire...
Je ne parle pas là de ces phénomènes qui ont une hyper laxité des ligaments, plus un problème qu'autre chose; mais d'une "aisance", fluidité, disponibilité dans le moment du jeu articulaire dans l'action.
Je considère les articulations comme premier élément rentrant dans l'efficacité !
D'un point de vue mécanique un mauvais positionnement entraîne un mauvais résultat dans le sens qu'une dispersion de la "force" (je préfère dire l'onde) se fait.
D'un point de vue "psychique", l'on peut considérer les articulations comme des nœuds qui bloquent le passage, l'expression de l'onde (je me rappelle  mes "raideurs" lors de mes débuts en Aïkido).
Il convient donc à mon sens que si je désire aller plus loin dans ma pratique je me dois de porter une attention particulière à celles-ci. Comment ? Là c'est autre chose....
Je remercie mes élèves qui sans le savoir font de bons cobayes, ce qui me permet de mettre en pratique cette théorie et d'en mesurer la justesse.
Pour conclure je dirai que si la souplesse musculaire peut avoir son importance, celle des articulations est des plus importante pour progresser dans une autre dimension.
Ah la souplesse du caractère va de pair avec la souplesse articulaire vous l'aurez compris.
Jean Philippe Pelissier