REÏSHIKI ou "comment me suis je trompé"

Reïshiki,
étiquette, règles de vie, de pratique...


  le reigi est en premier lieu une règle de bienséance, de politesse et d’attention aux êtres et aux choses. Nous y ajouterons également la notion d’hygiène. Soulignons d’emblée qu’il n’est en rien une simple forme, son domaine ne se limite pas aux apparences. Reflet d’une attitude intérieure, il s’avère de surcroît un puissant moyen de renforcer celle-ci. 
 
Dans tous les cas, le reigi est un code comportemental investi de mémoire et de culture, dont la marque principale est le respect. Respect envers le lieu, la mémoire, les objets, les professeurs, les anciens et tout un chacun. Et bien entendu, respect de soi-même.

Souvent l'on prête aux autres ses propres qualités (et défauts) dés le début de ma pratique je fus
très attaché "aux manières" et de fait celles-ci devinrent une seconde nature; le temps passant je m’assouplis en cela...ERREUR !!!! Erreur grossière car j'oubliais qu'en tant qu'enseignant je me devais de donner l'exemple, en faisant moins les élèves en feraient encore moins ! Ce qui est le cas...enfin, il n'est jamais trop tard pour revenir à une sincère pratique en son essence.
Jean Philippe

33 ans...suite

Dans le précédent article je parlais de la joie passée et à venir...ce "cap" de pratique entraine aussi un questionnement sur le temps passé, présent et à venir.
Questionnement sur le sens, l'essence de la pratique.

Sur le temps passé, de multiples erreurs, de mauvaises routes prises et de fausses compréhensions faites. Mais aussi de bien belles rencontres dont on ne mesure la qualité qu'avec le temps.
Au temps présent, la révélation que j'allais encore prendre un mauvais chemin mais merci à "Budoka no kokoro" qui vient à point nommé pour me rappeler ce qui me tenait à cœur. Le hasard est l'excuse de ceux qui ne veulent pas être !
À venir...enfin je l'espère une vraie pratique et transmission de la Voie des Arts de Combat et aussi, le temps est venu, le début de la rédaction de "mon livre" sur la pratique! Cela prendra du temps certes mais après tout oser il faut, je n'ai pas la prétention en décidant d'écrire mes réflexions et vues sur la pratique du Budo de déclarer une vérité, mais ce sera je pense un témoignage d'un pratiquant qui certes à fait des erreurs mais cherche toujours une certaine vérité dans sa pratique et enseignement.
Rassurez vous si je finis ça dans un an j'aurai de la chance !!!!

33 ans de pratique...

Je viens de m'apercevoir que je comptabilise 33 ans de pratique...aussi me suis je interrogé sur la symbolique de ce chiffre et voici ce que j'ai trouvé :

• Selon R. Allendy, "ce nombre montre l'activité libre de l'être dans l'organisation du monde. (...) Il montre la créature libre liée aux plans du Créateur par des liens de justice et d'amour ou par des intermédiaires providentiels". Ce nombre se voit ainsi relié au Karma - 3 + 3 = 6.
• Ce nombre est un multiple de 11 dont les deux unités antagonistes se sont élevées à l'harmonie en se développant chacune en un ternaire, éloignant ainsi le danger de la tentation, selon Lacuria. R. Allendy rajoute que l'activité de l'individu s'ajoute harmonieusement à la réalisation cosmique de l'Archétype: c'est pourquoi 33 ne revêtirait jamais d'acception défavorable.
• Le 11 symbolise la maîtrise sur le plan matériel, le 22 sur le plan mental, le 33 sur le plan spirituel.
• Le 33 représente la conscience spirituelle, le développement par l'expérience et un désir de l'atteinte d'un plan plus élevé de servir.
• Au Japon, le 33 est un signe porte malheur car il se dit SAR-ZAN, qui signifie aussi 'malheur sans issue'.

Bon ok, mais surtout apparait un sentiment de liberté, libre de toute forme, libre de tout dogme, de toute "vérité" propre à chaque style et école...
J'ai eu la chance d'apprendre sous la direction de personnes fabuleuses, chacune à leur manière avec leurs qualités et défauts mais toutes m'ont construites, m'ont permis de devenir...sans oublier mes partenaires d'entrainements qui pour beaucoup ont eu plus que de la patience !
À cela il faut ajouter le moment où je me suis mis à enseigner, sans prétention mais avec beaucoup d’appréhension !
J'ai lu une chose très juste je crois "enseigner c'est apprendre une deuxième fois". Si vrai comme écrit.
Pour conclure je pense que ce sentiment de liberté va enfin me permettre de comprendre le vrai sens de la pratique...que de joie à venir !!!
 jean Philippe

je me pose des questions...

Que dire sur ce que je lis en ce qui concerne les Arts Martiaux, Arts de Combat et Méthodes de Self-Défense....

Vous  conviendrez que si l'on trouve de tout sur le net, il est difficile sans avoir une expérience personnelle de savoir à quoi, à qui l'on a affaire...
pour faire court, il me semble que la visibilité est affaire de moyens; attention certaines personnes assez présentes méritent largement cette audience mais force est de constater que des vessies sont présentées comme des lanternes !
Aussi, vigilance, vigilance avant de vous engager en un groupe ! J'ai regret tout de même que certains enseignants n'est pas l'audience qu'ils méritent du fait d'une mauvaise communication.
Enfin maintenant est maintenant...
mes excuses à ceux qui suivent les posts mais très pris par l'organisation du stage au Maroc de février.
Jean Philippe

ket 1

Entrainement physique et Budo

Quelle part doit avoir et sous quelle forme la préparation physique doit être dans le Budo et Arts de Combat ? Comme toujours vaste question...à ce sujet très bon article à lire sur le blog de Mr Tamaki Léo http://www.leotamaki.com/article-entrainement-equipe-olympique-de-judo-de-mongolie-120612459.html (que j'ai en forte estime) et il ne s'agit pas là pour moi d'y répondre de façon détournée. 
De par mon expérience et ce qu'il m'a été donné de voir, je crois que le problème est que les exercices et méthodes classiques de musculation sont en effet contraire à une pratique juste du Budo / Arts de combat. En effet et sans schématiser nous constatons que la pratique générique de la musculation et autres préparations physiques répondent (et c'est déjà pas mal) à une augmentation des capacités physiques et cardio, prise de masse-augmentation capacité aérobie, gain puissance...hors le transfert de ces gains dans une pratique demandent beaucoup de temps et génèrent une gène dans la pratique (tous styles) si il est mal équilibré; en cela je rejoins l'analyse de Mr Tamaki.
Mais je crois qu'une préparation, une méthode non formatrice mais accompagnatrice doit être ! Un pratiquant "classique" s'entrainant 2 fois par semaine, sédentaire et selon son activité professionnelle, certes se fera du bien mais ne développera jamais l'ensemble -corps.esprit- nécessaire à une juste évolution de sa pratique.
Il s'agit donc de trouver, de pratiquer des méthodes autres qui soient en symbioses avec la pratique des Budo / Arts de Combat, qui les accompagnent et les bonifient...

Dans les commentaires de l'article de Mr Tamaki une réserve apparait sur la préparation physique et le travail développer par certains Maître, Mtre Hino, Mtre Kono... je dois dire que si je n'ai pu faire qu'un stage avec Mtre Hino, court pour mesurer l'étendue de sa voie mais suffisant pour qu'il me change à jamais, je pense et teste chaque jour qu'une judicieuse préparation physique ne va pas à l'encontre de son travail sur la structure du corps.
Là je fais ma pub mais entre le Kettlebell, les Kinesthésiques Mouvements et Cross Natural Training que j'ai mis au point, après de longs longs mois de travail je pense être arriver à trouver le juste point d'équilibre entre préparation-construction physique et Budo / Arts de Combat

Pelissier Jean Philippe

Entrainement et repos.

Quelle doit être une bonne fréquence d'entrainement ? Tout dépend de l'objectif, de la raison de la pratique, de l'age...en clair de nombreux éléments entrent en jeu...Pour Kishomaru Ueshiba le temps idéal d'entrainement serait de 4 heures par jour, 2h le matin et 2h le soir !
 Qui de nos jours peut se permettre de faire cela ? A moins d'être un rentier ou un enseignant professionnel (et encore)...nous devons donc trouver et appliquer une méthodologie d'entrainement qui permette une progression en temps court; cela demande donc une réflexion approfondie de sa pratique.
De ce qui est pertinent de ce qui ne l'ai pas...
Dans tous les cas je crois aussi que la notion de repos est une partie essentielle de la pratique, il permet de "digérer", "traiter" l'entrainement fait.

Pourquoi pratiquer ?

Souvent l'on me demande pourquoi je pratique (plus de 30 ans maintenant), que répondre ? On commence à pratiquer pour une raison et l'on continue pour une autre, toujours en mouvement, toujours évoluer, toujours chercher...! 
Je crois sincèrement qu'un style qui s'exécute toujours de la même façon générations aprés générations est une chose "morte", sclérosée, aride et j'en passe (je l'ai de fait constaté en Inde).
les conditions de vie: environnement, alimentation, sédentarité, évolution physique, culture...tant de changement que pratiquer comme il y a 100 même 50 ans est un anachronisme ! Certes il faut pour de nombreuses (et bonnes raisons) conserver et pratiquer les écoles anciennes mais il convient aussi de "ré-inventer" la pratique des Arts de Combat.
Cela dit une pratique qui n'approche pas, où n'intervient pas à un moment ou un autre la notion de survie (au sens large du terme) est une voiture à 3 roues, ok possible de rouler mais pas trop loin !
Voici un lien intéressant qui (on adhère ou non) pose de bonnes questions je pense..
Jean Philippe

lesurvivaliste.blogspot.com/

La Méthode de préparation physique !

Approfondir - Découvrir

Le budo...Voie ou piège à C.. !

Si il y a une chose bien claire sans être acceptée est que chacun voit, appréhende  le monde selon son imaginaire, que ce soit dans le monde du travail, dans la vie de couple ou ce qui nous intéresse là, dans le monde du Budo.

Budo, voie de réalisation personnelle à travers les techniques martiales...

Précédemment j'ai signalé mon choix sur cette appellation mais prenons la pour cette fois.
Donc cela voudrait dire que prime l'épanouissement et que la technique viendrait après, si je me trompe dites le moi.
Hors force est de constater que c'est le contraire qui est affiché, présenté, revendiqué ! Je me suis aussi exprimé sur la notion d'efficacité on en reste là.
Je pense, je constate que beaucoup prenne des vessies pour des lanternes, quand je lis qu'un pratiquant de Iaïdo "pense" à mourir ou tuer quand il tranche...des exemples je pourrai encore dire, écrire. Je crois qu'une certaine crédibilité manque et je ne veux pas dire que tout pratiquant doit être un "tueur" loin de là, chacun pratique pour une raison qui lui est propre et elle sont toutes respectables.
Se faire plaisir, s'approprier son corps, avoir un moment à soi, partager, savoir se et défendre les siens...les raisons sont diverses et multiples. De plus en tant qu'enseignant je me dois de connaitre mes lacunes, mes forces et mes faiblesses...
Juste un minimum de vérité, quand je vois un ostéopathe foutu comme une amphore clair qu'il me revoit pas et je le lui dit ou, ce qui m'a bien fait rire, un praticien shiatsu (petite trentaine) bien grassouillet qui me parlait d'harmonie et d'énergie, de combat...ah ah ah trop fort, surtout qu'il pratique Budo !
Je pense en écrivant ceci au personnes qui vont commencer la pratique, soyez vigilants ! Le temps passe vite, aussi ne perdez pas de temps avec de mauvais metteur en scène et ne vous faites pas de film comme la daube ci dessous !!!!

Je me devais aussi de parler de l’honnêteté, de la rigueur, de l'humanité des pratiquants de Budo...bon c'est comme les poissons volants, il y en a mais ils sont pas représentatifs de l'espèce !


Jean.Philippe

Rencontre 2...

Je disais donc qu'en tant que pratiquant les rencontres sont essentielles pour enrichir la dite pratique (mais aussi et surtout notre être, notre personne, la base quoi !) j'ai eu la chance de rencontrer des gens extraordinaires ! Une mamie qui avait fait la guerre d'Espagne, un chanteur russe (?), un ancien de ...je dirai pas ça va faire peur et des gens "ordinaires" que rien ne distingue mais qui ont une richesse d'âme incroyable comme M, L, C....je ne peux tous vous mettre! Merci à eux !

En tapant ce texte je me dis aussi que les rencontres ne dépendent que de nous, de notre écoute et disponibilités...donc dans les Arts de Combats j'ai croisé le chemin de personnes qui m'ont enrichi et je ne parle pas que d'un point de vue technique, je parle surtout de leurs humanités, simplicités, des personnes entières; rare, très rare car j'ai aussi côtoyé des C..., des imbus, des calculateurs, des mythomanes et j'en passe. Qu'importe la qualité l'emporte sur la quantité !
Je n'oublie pas, comment le pourrais je, mes élèves qui sont un étonnement permanent pour moi.

 Un mot sur la dernière rencontre, Mr Éric Martin, juste des échanges sur facebook et hop ! Une semaine formidable ! Un Monsieur ouvert, humain, simple, qui trace son chemin sans faire de bruit.
Éric, merci de cette rencontre !

Pelissier Jean.Philippe

Rencontre...

Tous les pratiquants de tous les  horizons  le savent, la pratique est un formidable "outil" de rencontre, elle donne la chance de croiser le chemin de gens (pas toujours des pratiquants) je viens de passer une semaine avec un gars super, l'occasion d'échanges, de dialogues...Mr Éric Martin. Je reviendrais là-dessus plus tard et de fait cela me ramène en mémoire les séjours au Sénégal, 1 er pour stage sous la direction de Jean-François Démoulin, que de souvenirs et le 2 ème pour faire du bateau (16 mètres en bois des années 30 !) avec le "Capitaine Michel" ! 
Quelle chance que de pratiquer et merci à celui (le seul) que je considère comme mon Maître, Mr Guiral, qui a su me faire poursuivre la pratique en y donnant un sens et m'a permis de connaitre le monde des abeilles...
Jean-Philippe

Efficacité et Arts de Combats

Qu'est ce que l’efficacité en A.M ? Ou l'Art Martial rend il efficace ?
En premier chef je dirai déjà que je n'aime pas trop le terme Art Martial, référence à Mars dieu de la guerre chez les romains mais aussi des moissons, celui-ci est une version douce d'Arès qui n'est pas vraiment très fréquentable :
 Arès est le dieu de la guerre, de la brutalité et de la destruction. Est souvent appelé Ἐνυάλιος / Enyalios, « le furieux ». Traditionnellement, les Grecs interprètent son nom comme un dérivé du mot « tueur », ἀναίρης / anaïrês. Ses épithètes laissent peu de doute sur sa personnalité : « insatiable de guerre, assailleur de remparts, destructeur de cités, pourfendeur de boucliers, meurtrier, buveur de sang, porteur de dépouilles, fléau des hommes. »

Je préfère donc le terme Arts de Combats, combat avec/contre l'autre mais aussi combat avec/contre soi-même, là c'est un autre sujet mais qui a son importance dans ce qui suit.

L'efficacité découle t'elle d'un style? D'une pratique? D'un entrainement particulier?
Je pense que tout style peut être efficace si il est pratiqué dans "l'état d'esprit"
bien que certains visent un résultat immédiat et pour d'autres disons que ce n'est pas le souci premier...Je suis persuadé que l'individu prime sur le style et puis aprés tout c'est lui qui "le fait" bien que l'on s'appuie dessus dans un premier temps pour "se faire"...
Et il convient de différencier l'efficacité de l'action selon le lieu et le contexte, un combat de compétition (ligth, full, demi contact) dans la rue en tant que civil, policier; pour se défendre, pour défendre...l'efficacité est donc une question vaste et presque sans réponse tant son champ d'action est multiple mais à ceci je dirai qu'il ne faut se leurrer et si l'on peut raconter des histoires aux autres, mieux vaut ne pas se mentir car la sanction peut être lourde !
Après et là je fais une confidence, lorsque je vais en stage ou en visite à d'autres écoles je me mets en semi-régime, voire limite simplet, pourquoi me direz vous ? Et bien si vous ne savez pas mieux vaut ne pas faire d'Arts Martiaux/de Combats !

Jean-Philippe

Les pratiquants de nos jours

Qu'en est il des pratiquants de nos jours...force est de constater une pratique générale en baisse, baisse d'intensité, d'engagement, de gout de l'effort à long terme. Sans doute du à une forme de consommation de la pratique mais aussi à un certain imaginaire de la chose sans oublié une recherche de confort permanent.
Heureusement certains ont la flamme et n'hésite pas à se mettre en danger, à repousser leurs limites, à se confronter à leurs peurs et font preuve de courage sans bruit.
A ceux là je dis merci, vous donnez un sens à l'enseignement reçu et à la pratique !
Jean-Philippe

S'entrainer c'est aussi et surtout trouver, réaliser des mouvements qui allient le corps et l'esprit. Sortir des sentiers battus (re)découvrir de nouvelles sensations, aller à la rencontre de soi-même...
Jean-Philippe

C'est l'esprit qui doit trancher, non le sabre...

Souvenirs de fin saison 2013

Entrainement en nature

Cela fait longtemps que je m'entraine dans la nature et cela en toutes saisons mais jamais aussi
longtemps à la suite. 4 semaines que quasi quotidiennement je m'entraine sur la plage et que je finis celui-ci par une session dans l'eau(kihon, kata - pas évident...). Outre le travail physique s'ajoute un sentiment de "purification", un très fort ressenti des mouvements et états du corps.
Des "nœuds" se défond et une nouvelle perspective de la pratique se présente...encore plusieurs semaines de ce travail se présentent, que de joie à venir ! L'entrainement en nature et quelque soit le temps (j'insiste sur ce point !) doit accompagner la pratique pour que celle-ci soit des plus complètes

Ba Duan Jin

BA DUAN JIN
OU
LES HUIT MERVEILLEUX BROCARD


Il s’agit d’exercices traditionnels de santé les plus connus en Chine.Après avoir dépassé la maîtrise gestuelle, vous devez, afin d’en retirer tous les bénéfices y associer lors de l’exécution des " intentions " particulières à chaque mouvement.

L’apprentissage de  l’enchaînement ne peut se faire que de personne à personne, voici tout de même quelques règles à respecter :
-ne forcez jamais durant l’exercice, pratiquez selon vos possibilités.
-harmonisez votre respiration avec votre mouvement.
-ne pas exécuter le BA DUA JIN juste après avoir mangé...

http://yokenryu.wix.com/yokenryu

http://wolfkettlebell.wix.com/wolfkettlebell

L’été est loin d’être fini mais je pense et prépare la rentrée d’arrache pieds, savoir évoluer, se remettre en question et surtout ne jamais penser que «l’on sait» mais le temps est venu de s’exprimer et je fais mienne la devise des SAS «qui ose gagne» en y ajoutant celle de Maîte Kano «entraide et prospérité mutuelle».
Jean philippe Pelissier

Journal des membres de L'Académie Yoken ryu